Entité communale de Saint-Ghislain
Le territoire
Superficie: 1232 ou 1582 ha (?)
Altitude: de 22 m (niveau de la Haine au sud) jusqu’à 75 m à la limite de Sirault.
Situation géographique : Le territoire d’Hautrage est situé en vallée de Haine sur sa rive droite.
Cours d’eau : la Haine, le ruisseau des Fontaines,
Paysage préhistorique (après la dernière période glaciaire) : dans la plaine à proximité de la Haine, les terrains étaient (et sont encore en partie) marécageux. A mesure que l’on monte sur le versant nord, le sol était couvert de la forêt qui va de Bonsecours à Saint-Denis-en-Broqueroye.
Nature du sol : alluvionnaire, argileux, sablonneux
Nature du sous-sol : pierre calcaire, grès, houille
Préhistoire
Néolithique (Homo Sapiens) :
Plusieurs indices de la période néolithique (entre 5000 et 2000) ont été découverts dans le sol d’Hautrage.
- En 1981 : un couteau en silex dans le canal de dérivation de la Haine, à la « Canarderie » entre Hautrage et Pommeroeul.
- En 2000 : une hachette polie, une pointe de flèche, un grattoir, des lames, des lamelles et des nucléus furent trouvés dans un champ (non mentionné)
- En 2004 : une hachette en silex dans le même champ
- En 2003 : une hache en silex à proximité
Age du bronze :
Des témoignages de l’âge du bronze furent trouvés en 2013 dans un champ non mentionné (Lebailly, Dufrasnes) : une hache en bronze de type languedocien (entre bronze ancien et bronze moyen, ce qui est rare en Hainaut : une à Ghlin, une à Brugelette), ainsi qu’une lame (d’épée ou de lance) brisée intentionnellement comme on le faisait de façon rituelle. Cette découverte s’inscrit dans un contexte régional plus large propre à cette période, d’après des éléments retrouvés à Bernissart et Harchies.
Antiquité gallo-romaine
Hautrage est situé à distance des grandes chaussées romaines. Cependant des chaussées secondaires (diverticulums) passaient à proximité, dont on ne connait pas toujours l’ancienneté : néolithique ? Gallo-romaine ? Médiévale ? On sait qu’une voie circulait au nord de la Haine, parallèle à celle-ci.
On mentionne des chemins allant de Condé à Mons, de Pommeroeul à Chièvres, mais ils se réfèrent à des lieux qui n’existent que depuis le Moyen-Age. Il est donc difficile d’en conclure la situation dans les premiers siècles de notre ère.
En 1898, Mr Haubourdin, sur le site de « La Hamaide », mit à jour un vaste cimetière à urnes. On retrouva à proximité de nombreux tessons gallo-romains de céramique commune à la surface d’un champ (ouest du ruisseau Le Fossé à Baleines) et de rares tegulae (donc construction peu probable, mais plutôt site lié à des pratiques funéraires).
En 1995, dans un jardin de la « rue de Varsovie », on retrouva des tessons de céramique (amphore) du Haut-Empire romain.
Au « champ de l’Alouette », on a déterré des fragments de tegulae (tuiles), une tête de fibule (identique à d’autres datant du Ier siècle), des monnaies du Ier et du IIème siècle (sesterce de Faustine, de Commode, d’un Antonin).
En 2000, sur le site « Villa du Sart » (déjà signalé par Haubourdin en 1898 où il avait ramassé des monnaies) et sur « Les Prés de Grand-Rieu » : des tessons gallo-romains (mortier, vases en terre sigillée, ces derniers originaires du Centre de la Gaule, IIème, et du sud de la Gaule, 80-120).
On peut supposer qu’une villa gallo-romaine exista à Hautrage depuis le milieu du Ier siècle jusqu’au milieu du IIIème. Si la nécropole fut vaste, cela signifierait qu’une population assez importante vivait et travaillait dans cette exploitation.
Premier Moyen-Age (période franque mérovingienne et carolingienne)
Nous n’avons pas mention d’une occupation lors de cette période
Deuxième Moyen-Age – le village
Première mention: IXème siècle (sans précision)
Toponymie (anciennes orthographes) :
- Heltregia, 1082
- Haltrigis, 1095
- Autrâch
Etymologie (hypothèses d’origine du nom) : On pense que le nom du village dériverait des mots latins alte (=haut) et rege (= terre ou terroir), ce qui en ferait un pays de hautes terres (par rapport à la Haine).
Epoque de son apparition: probablement le XIème siècle
Facteurs ayant favorisé son émergence :
– voies de communication: les chemins reliant les centres importants à cette époque (Saint-Ghislain, Chièvres, Condé, Crespin, Tournai).
– sources d’eau ou cours d’eau: plusieurs rus
– source de bois: tout le versant sec était boisé
– proximité d’un lieu de pouvoir: le château de Ville
Paroisse dédiée à Saint-Sulpice
Evêché: de Cambrai (jusqu’en 1804), puis de Tournai ensuite
Décanat/doyenné: Chièvres
Autel (dîmes, entretien de l’église, nomination des officiants) donné par Gaucher, évêque de Cambrai, en 1095, à l’abbaye de Saint-Ghislain. Elle dépendait de l’évêché de Cambrai et du doyenné de Chièvres. Le collateur de la dîme était donc l’abbé de Saint-Ghislain qui en prenait 12 seizièmes et donnait le reste au curé.
Répartition des pouvoirs pendant la période féodale
Il est difficile de dire, vu l’absence de renseignements précis, si le territoire se situait dans le Comté original du Hainaut (pagus hainoensis), en grande partie situé au sud de la Haine (mais Baudour en dépendait), ou dans le comté primitif de Brabant (Burbant) qui se trouvait entre Haine et Escaut. Le fait de dépendre du doyenné de Chièvres évoque la deuxième hypothèse. Les deux pagi furent fusionnés en 1049.
Autorité supérieure: comté de Hainaut
Autorité sous-jacente (administrative et judiciaire): prévôté de Mons
Seigneuries et fiefs
On en mentionne au moins trois:
- une seigneurie principale, décrite plus loin.
- des terres de l’abbaye de Saint-Ghislain
- On mentionne une tenure de Débihan sur la Haine (une exploitation agricole) dans le hameau qui aujourd’hui appartient à Thulin.
Hautrage, Villerot, une partie de Ville, Thulin, Hainin, Boussu étaient au XIème siècle propriétés des comtes, territoires dont ils s’étaient accaparés au IXème ou au Xème siècle, faisant auparavant partie du domaine royal. Au début de la féodalité, au XIème ou au XIIème, ils furent tous attribués à la famille de Mons, qui détenait Baudour et peut-être la fonction de châtelain de Mons. On cite généralement:
- Gossuin II « Isaac » de Mons (v1070-v1126)
- Gossuin III de Mons (1116/1120-v1177), fils du précédent. Ce dernier épousa Béatrix de Rumigny, petite-fille du comte Baudouin II par sa mère. Gossuin et Béatrix eurent un fils et plusieurs filles, dont certaines (avec certitude) reçurent en dot ou en héritage une seigneurie. Ce fut le cas de Pétronille de Mons (à ne pas confondre avec une de ses aïeules maternelles, Pétronille de Rumigny) qui hérita de Boussu, de Villerot, d’Hautrage et d’une partie de Ville.
Cette famille avait les droits seigneuriaux sur les villages de Fontaine (qui s’appellera plus tard Fontaine-l’Evêque) et d’Orchies. C’est par le mariage de Pétronille de Mons avec Wauthier/Gautier II de Fontaine (v1110-avt1173) que Boussu et les villages cités passèrent dans cette famille.
Wautier III de Fontaine (v1155-apr1235), leur fils, épousa en premières noces Jossine de Ligne dont il n’eut pas d’héritiers (morts avant leur père) et en secondes noces Basilie de Condé, dont il eut :
- Nicolas de Fontaine ( ?-1272), évêque de Cambrai, seigneur de Fontaine jusqu’à sa mort
- Mahaut de Fontaine ( ?-1274), dame-héritière de Boussu qui épousa Baudouin II de Hennin-Liétard et fit entrer la seigneurie de Boussu dans cette famille qui la détiendra pendant six siècles.
Pour des raisons difficiles à comprendre, ces seigneuries dépendirent du comté-marquisat de Namur, peut-être suite à une intervention de Philippe le Noble, marquis de Namur, frère du comte Baudouin VI qu’il remplaça comme régent pendant la IVème croisade.
Il est aussi fait mention d’une Famille d’Hautrage, à qui le domaine aurait été attribué, mais la Comtesse Jeanne de Constantinople (1205-1244), au début du XIIIème siècle, leur aurait confisqué leurs biens. Le château aurait brûlé. Nous manquons de détail à ce propos.
Il semble que la même comtesse Jeanne, ou sa soeur, la comtesse Marguerite, ait ensuite attribué Hautrage, Villerot et la partie de Ville à cette famille qui détenait déjà Harchies, Audregnies, Quévy, Strépy, Pommeroeul et la seigneurie principale de Ville. Quel personnage de cette famille se trouva le premier en possession d’Hautrage ?
A cette époque, il s’agissait d’Allard IV de Strépy (v1170-1224/1234) ou de son fils Gérard I de Strépy (v1220/1230-apr1265)/ Lui succédèrent:
- Arnould I de Strépy (1240- ?), fils du précédent
- Gérard II de Strépy (v1275- ?), fils du précédent
- Gérard III de Strépy-Ville (1310- ?), fils d’Arnould. Il n’avait qu’une fille, Alix, qui hérita de Ville, Pommeroeul, Hautrage et Villerot (Harchies et Audregnies ayant déjà été cédés à des oncles).
Maison de Berlaymont – branche cadette (XIV)
Jean 1er de Berlaimont-Ville ( ?-1366) devint seigneur de Ville, Pommeroeul, Hautrage et Villerot, suite à son mariage avec Alix de Strépy-Ville. Lui succédèrent:
- Gérard II de Berlaimont, dit « Persidès de Ville » ( ?- 1410), fils du précédent
- Gérard III de Berlaymont ( ?- 1473), fils du précédent. Il n’eut qu’une fille héritière, Marie.
Maison de Luxembourg – branche cadette de Fiennes (XV)
- Jacques 1er de Luxembourg-Fiennes (1445-1487) devint seigneur de Ville, Pommeroeul, de Hautrage, Villerot après avoir épousé Marie de Berlaymont (1455-1529)
- Jean II de Luxembourg-Fiennes (1477-1508), fils des précédents. Il n’eut pas d’enfant et ce fut sa sœur Philipotte qui lui succéda.
- Antoine « le Grand Diable » de Ligne (1474-1532), fils de Jean IV, devint seigneur de Ville, Pommeroeul, Hautrage et Villerot après avoir épousé Philippote de Luxembourg-Fiennes.
- Jacques de Ligne (1503-1552), fils du précédent
- Georges de Ligne ( ?-1579), fils du précédent
- Philippe de Ligne (1533-1583), fils de Jacques, frère de Georges
- Lamoral Ier (1563, Beloeil-1624, Bruxelles), fils du précédent
- Florent de Ligne (1588-1622), fils de Lamoral I
- Albert-Henri (1615-1641), fils aîné de Florent de Ligne
- Claude-Lamoral I (1618, Beloeil-1679, Madrid), son frère
- Henri-Louis-Ernest de Ligne (1644-1702), fils du précédent
- Antoine Joseph Ghislain (1682-1750), fils d’Henri-Louis- Ernest de Ligne
- Claude Lamoral II (1685-1766), frère du précédent
- Charles-Joseph Lamoral de Ligne (1735, Bruxelles – 1814, Vienne), fils de Claude-Lamoral II
Il fut le dernier seigneur féodal de Villerot, déchu de ses droits par les révolutionnaires. A ce moment, dans la vallée de la Haine, les Ligne possédaient, parfois depuis longtemps, Beloeil, Ellignies-Sainte-Anne, Quevaucamps, Granglise, Stambruges, Hautrage, Ville et Pommeroeul, Montroeul-sur-Haine et Thulin, Villerot, Tertre et Baudour. En plus d’autres fiefs disséminés ailleurs.
La commune
Pas de notion d’une charte communale.
En 1265, d’après un cartulaire, les comtes avaient droit d’y lever des gens pour le service militaire, ainsi que les droits de mortemain, la douzaine et le partage à grès.
Période française (1794-1814)
Fin de l’Ancien Régime féodal en 1794
- Département: Jemappes
- Canton: Thulin, puis Boussu
Répartition des pouvoirs pendant la période contemporaine (à partir de 1814)
- Etat: Royaume des Pays-Bas (1814-1830), puis Royaume de Belgique
- Province: Hainaut
- Arrondissement administratif: Mons
- Arrondissement judiciaire: Mons
- Canton: Boussu
- Entité communale depuis 1977: Saint-Ghislain
Evènements et faits marquants sur le sol de la commune
Bataille du 17 juillet 1572. Elle vit s’affronter les troupes huguenotes (protestantes) françaises du Baron de Genlis et les troupes espagnoles de Fernando de Tolède, fils du duc d’Albe, dans le cadre de la tentative de reprise par ce dernier de la ville de Mons, tombée dans les mains du réformiste Louis de Nassau. Ce dernier attendait les secours de Jean d’Angers, baron de Genlis (envoyé par le roi Charles IX de France au secours de Nassau). Le quartier général des Espagnols se trouvait au château de Boussu. Il commandait à toutes les troupes massées entre Maubeuge, St Ghislain et Hautrage. Les Français furent battus et exterminés à Hautrage (perte de 1200 hommes), autant par les troupes espagnoles et wallonnes, que par les paysans encouragés par leurs curés. Une partie de la bataille se déroula sur le territoire voisin de Villerot.
Le 23 août 1914 a lieu la bataille de Mons. Les troupes des envahisseurs allemands se trouvaient confrontées aux troupes britanniques qui cherchaient à ralentir leur avance pour permettre la constitution d’un front plus au sud. Les Anglais se tenaient dans les différents villages au sud de la Haine depuis Mons. Les Allemands contournèrent Mons par le nord, traversèrent la rivière en divers endroits pour continuer leur progression et faire reculer les Britanniques.
Lors de la libération, entre le 8 et le 10 novembre 1914, les troupes canadiennes accompagnèrent le recul allemand. Une bataille fut livrée à Boussu le 8. Hautrage fut libérée à ce moment.
Hautrage fut occupée par les Allemands dès le 19 ou 20 mai 1940. Il ne semble pas qu’il y ait eu de combats sur son sol, ni de bombardements avant la libération, comme ce fut le cas à Tertre et Saint Ghislain.
La libération eut lieu le 2 ou 3 septembre 1944.
Economie
Avant le XIXème siècle, les Hautrageois vivaient essentiellement de l’agriculture et des métiers artisanaux liés à celle-ci.
On commença alors à exploiter le sol et le sous-sol :
- argile (terre plastique), sable,
- chaux, grès
Se développèrent des fabriques
- de briques (Lescot)
- de briques réfractaires,
- de produits céramiques
- de tuiles.
Les « Ets SA Ernest Lebailly » furent fondés en 1842. Au début, on y exploita les terres argileuses et les silex naturels, destinés aux fabriques de céramique et de produits réfractaires. Carrières de grès (blancs, dorés, noirs ou schistes houillers). Commerce de graviers pour aménagements extérieurs.
Exploitation houillère
Des fosses à charbon (carbonaria) existaient déjà en 1229. Le grand développement eut cependant lieu surtout au XXème.
Dans le hameau de la Hamaide (sud du village), appelé ensuite Hautrage-Etat, se constitua une société (« S.A. des charbonnages du Hainaut » à Hautrage-Etat) en 1907. Elle y construisit un site d’exploitation qui commença surtout à fonctionner après la guerre 1914-1918. L’afflux d’immigrants (17 nationalités, dont la polonaise et l’italienne était une des plus importantes) nécessita la construction de corons, la constitution d’une paroisse et d’une église, ainsi qu’une école, une salle de fêtes et un centre de soins.
Une gare, sur la ligne Saint-Ghislain-Tournai, fut aménagée.
L’exploitation s’arrêta en 1959. Plusieurs bâtiments ont été conservés.
Patrimoine ancien
Couvent des Franciscains, XV et XVIIème
Maladrerie (repos des pèlerins et hôpital pour soins). Fondée en 1432 par Jean Sourive, un montois natif d’Hautrage.. La chapelle y attenant fut achetée pour collation par l’abbé Pierre Bourgeois de St Ghislain en 1433.
Patrimoine actuel
Eglise St Sulpice. Reconstruite sur un ancien édifice du XVème, remodelé en 1829, en style néoclassique. Le clocher est du XVIème siècle. On trouve quelques pierres tombales (dans le mur actuel) de l’ancien cimetière y attenant (actuelle place publique), ainsi qu’un Christ en pierre de 1530.
Le Couvent des religieuses du Tiers Ordre de Saint-François (Sœurs Grises) fut fondé en 1509 par Jean Hanot, bailli de Mons, originaire d’Hautrage, et sa sœur Agnès, qui donnèrent leur maison. Les Sœurs Grises (Dames d’Hautrage) y entrèrent en 1506 et dispensèrent une instruction et une éducation à des jeunes filles. Elles donnèrent aussi des soins aux malades et aux pauvres. Une chapelle y fut bâtie en 1509. L’actuelle chapelle a conservé des vestiges de cette époque. Le bâtiment fut rénové en 1557. Il subit des dommages à l’occasion de la bataille de 1572. Les sœurs se réfugièrent alors à Ath et revinrent en 1587. L’institution fut supprimée à la Révolution. Une communauté de religieuses s’y installa par la suite pour y développer un enseignement.
Moulin Frison ou Moulin Hovine (rue Octave Mahieu). Moulin à eau, fonctionnant à partir de vannes sur les étangs de la Drève Royale et sur le ruisseau des Fontaines. Il aurait été construit avant 1246 et aurait été rénové en 1790. La famille Hovine-Frison l’occupait entre v.1850 et v.1940. Il continua à fonctionner (à l’électricité) jusqu’en 1965 grâce aux descendants qui en sont toujours propriétaires.
Eglise du Sacré-Chœur, à Hautrage-Etat. Bâtie en style néogothique pour une nouvelle paroisse, créée au XXème siècle, pour les besoins des habitants du hameau.
Merci pour ce magnifique boulot. Pour un homme de la terre comme moi, tu comprendras que les racines, c’est important.
bonjour, je viens de consulter ce site, et j’y ai trouvé un élément de ma recherche. J’ai récupéré après le décès de maman en 2017, une grande tapisserie encadrée (1/2 point de croix) représentant l’Assomption de la Vierge. Maman la tenait de son père qui l’avait reçue de sa grand-mère qui l’avait brodée au couvent d’Hautrage étant adolescente. Mon grand-père étant né en 1904, et ayant eu un frère de 20 ans son ainé, la tapisserie devrait dater de 1850 ?
Je ne comprend pas le sens de votre question. Pouvez-vous préciser?
le couvent d’Hautrage accueillait-il des adolescentes au 19ème siècle,existe-t-il un registre, car je n’ai hélas pas beaucoup d’informations et je suis passionnée par l’histoire familiale, cette tapisserie en fait partie.
Je suis désolé, mais je n’ai pas ces renseignements.
Bonjour,pourriez-vous me dire qui appelait on le sonneur d’hautrage?
Je n’ai pas lu cette information. Désolé.
Bonjour,
avez-vous des informations relatives à l’orgue de Saint-Sulpice ? merci pour la suite.
Meilleures salutations,
MT
Bonjour,
Pourriez-vous rectifier/ compléter le commentaire concernant le moulin Frison ? L’appellation ‘moulin aux vignes’ est erronée. Il y a une confusion avec la famille Hovine (Antoinette puis Augustine Hovinne-Frison), apparentée à la famille Frison, propriétaire du moulin entre +/- 1850 et +/-1940. A noter que les descendants en droite ligne de la famille Frison sont toujours propriétaires du moulin.
Voilà qui est fait. Merci pour le renseignement!
Bonjour, avez-vous des informations sur la brasserie Antoine Péniaux-Rimaux, L’Axensalva ? La brasserie était en activité vers 1892 à 1944.