Ongnies (famille d’)

En ce qui concerne nos villages, les personnages importants de cette famille commencent avec:

Jeanne-Anne de Rosimbos ( ?-1592)

En 1560 (mort de sa mère ?)  Ressaix passa à Anne, dame de Rosimbos, la Hutte, Filometz et Fromelle.

Adrien d’Ongnies ( ?-1550). Chevalier. Seigneur de Villerval en Artois, Alennes. Il avait épousé Jeanne-Anne de Rosimbos (?-1592), héritière en 1560 de Rosimbos et de Ressaix (seigneurie principale et de la Hutte).  Ces titres allèrent à leurs enfants. Gouverneur de Lille en 1579. Grand bailli des bois du comté de Hainaut. Ils eurent:

  • Robert d’Ongnies, infra
  • Charles d’Ongnies, S. de Rosimbos et de Villerval
    • Ep.1 Anne de Rubempré
      • Anne d’Ongnies, ép. François d’Ongnies
      • Ep.2. Anne de Croy
  • Antoine, ép. Anne de Jauche
  • Charlotte, ép. Henri de Hamal Monceau

Robert d’Ongnies (1542- v1602), fils du précédent.  Seigneur de Willerval, Philometz, Ressaix (seigneurie principale et La Hutte). Il acheta en 1601 le fief de Peissant-à-Ressaix à François de Peissant. Il épousa en en 1584 Eléonore de Bailleul, dont il eut:

  • Jean, infra
  • Eléonore, infra
  • Sabine (1590- ?), ép. Gérard de la Rivière

Jean d’Ongnies (1585-1618), fils du précédent.  Comte de Willerval, seigneur de Philo­metz. Seigneur de Ressaix (seigneurie principale, de la Hutte et de Peissant), dont il fit relief le 17 octo­bre 1602.  Il épousa Maria-Walter Sapata. A la mort de son époux survenue le 17-8-1618, cette dernière prit un arrangement avec sa belle-sœur  et les domaines de Ressaix passèrent à celle-ci:

Eléonore-Hypolite d’Ongnies (1587-apr1618), sœur du précédent, qui épousa son cousin Charles-Philippe d’Ongnies (1570-1632), comte d’Estrées, baron de Rollencourt. Gouverneur d’Aire. Il acheta la seigneurie de Clerfayt-à-Ressaix qu’il ajouta aux trois autres domaines de Ressaix qu’il avait hérité de son épouse. Cependant fort endetté, vers 1625, pour satisfaire ses créanciers, il aliéna la plupart de ses terres.

A ce moment les quatre fiefs seigneuriaux de Ressaix, qui n’appartenaient déjà plus aux d’Ongnies qu’à titre précaire et dont la mise en vente avait déjà été affichée plusieurs fois, furent exposés aux enchères le 25-9-1628.

 

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